#l'hôtel particulier
Explore tagged Tumblr posts
withgaby · 14 days ago
Text
De l'autre côté du miroir
Aujourd’hui, je voulais vous parler d’une scène en particulier de la série Pluto (2024), mais avant une petite mise en contexte.
Tumblr media
Ai-oon se fait passer pour sa jumelle, Ob-oom, auprès de May, sa petite amie secrète et aveugle afin de découvrir si elle a un lien avec l’accident de voiture qui a laissé sa sœur dans le coma le soir de ses noces avec un autre homme.
Même si May est mise hors de cause, Ai-oon continue de se faire passer pour sa sœur, car elle a développé de forts sentiments pour elle.
Tumblr media
Dans l’épisode 7, Lors d’un évènement, l’ex petite amie de de May, Ploy, confie à Ai-oon que May ne l’a jamais vraiment aimé, car elle n’a jamais pu oublier la première personne dont elle est tombée amoureuse. A ce moment-là de l’histoire, nous, nous savons que May sait que ce n’est pas Ob-oom qui partage sa vie ces dernières semaines et qu’il s’agit de Ai-oon. Un flashback au début de l’épisode nous dévoilait que May a rencontré son premier amour au planétarium, une adolescente venue à son secours portant un uniforme au nom de Ob-oom, mais déjà à l’époque il s’agissait de Ai-oon se faisant passer pour sa sœur (on ne va pas aborder le schéma qui se dessine).
Bien évidemment, Ai-oon n’a aucun souvenir de cette rencontre. Pour elle, leur première rencontre remonte à quelques semaines où elle a commencé à se faire passer pour sa sœur. Rencontre où elles ont échangé un baiser passionné, le seul jusqu’à présent, baiser qui fera naitre les sentiments qui ne cessent de grandir d’Ai-oon pour May.
Tumblr media
Petite note avant de continuer parce que c’est important pour la suite, en Thaïlandais, lorsqu’on parle, on nomme souvent les personnes, même soi-même. Plus clairement, au lieu de dire « je t’aime », Ai-oon dirait « Ai-oon aime May ».
Ploy explique à Ai-oon,  qu’elle appelle Ob-oom (oui parce que tout le monde est censé la prendre pour sa sœur jumelle) : « May a montré à tout le monde que c’est Ob-oom qu’elle aime. » Une Ob-oom qu’elle décrit comme belle, élégante et courageuse.
A savoir qu’Ai-oon s’est toujours considérée comme la mauvaise jumelle, elle a grandi dans l’ombre de sa sœur plus belle, plus intelligente, plus courageuse. Alors, quand Ploy lui dit cela, elle voudrait pouvoir y croire, mais ne peut prendre ces attributs pour elle.
Ai-oon observe son reflet dans un grand miroir, ce qu’elle y voit d’abord, c’est sa sœur, parce qu’elle joue son rôle, porte des vêtements qu’elle porterait, aime sa petite amie. Elle se souvient que tous les mots d'amour, toutes les marques d'affections de May ne sont pas pour elle, mais pour Ob-oom.
Son reflet dans le miroir change, Ai-oon s’y voit, médiocre dans sa tenue de tous les jours, une personne qu’elle ne pense pas être à la hauteur de l’amour de May. Malgré tout, Ai-oon ne peut pas renoncer à ce qu’elle vit avec May, parce que cet amour, même s’il n’est pas pour elle, la porte. Elle se sent plus forte, plus importante, plus aimer que jamais lorsqu’elle est auprès d’elle.
Tumblr media
Nous arrivons à la scène dont je voulais vous parler.
Plus tard, May et Ai-oon sont dans la salle de bain de l'hôtel où elles séjournent. May se rend compte qu’Ai-oon a ramené des bougies parfumées parce qu'elle sait que la chaleur et l'odeur lui permettent de s'orienter dans la pièce (et ça c'est trop mignon). Elle lui dit que grâce à elle, elle a l'impression de voir de nouveau et à Ai-oon de répondre qu'elle se sent une meilleure personne en sa présence.
May continue en disant "Voici mon Ob-oom, belle, brillante et courageuse." Ai-oon n'en dit rien, mais on voit sur son visage que c'est dur à entendre pour elle.
Tumblr media
Elles se rapprochent, la caméra recule et se décale, elle ne filme plus directement Ai-oon et May, mais leur reflet dans le miroir. Ce que nous montre la mise en scène, ce n'est pas une scène d'amour entre May et Ob-oom, mais une scène d'amour entre May et Ai-oon. Alors qu'elles s'enlacent, Ai-oon hésite, est-ce vraiment une bonne idée ? May est tout ce qu'elle a toujours voulu, elle remplit son cœur, mais May ne lui appartient pas, elle est la petite amie de sa sœur.
Tumblr media
Ai-oon dit "J'aime May". On notera qu’elle ne se nomme pas parce qu’elle ne parle pas en tant qu’Ob-oom, elle dévoile ce qu'il y a de plus sincère en elle. Lorsque May commence à répondre « May aime… », Ai-oon l’embrasse sans lui laisser le temps de finir sa déclaration, parce qu’elle ne veut pas entendre le prénom de sa sœur à cet instant. (Je pense qu’elle aurait pu dire « May aime Ai-oon », je le rappelle, elle sait qui elle tient dans ses bras et à ce moment précis, on ne voit que le reflet dans le miroir).
Quand Ai-oon et May s’embrassent pour la première fois depuis le baiser qu’elles ont échangé à leur rencontre. Ai-oon porte May et la fait s’asseoir sur le meuble, dos au miroir. Ce qui fait qu'on voit à la fois le couple Ai-oon/May et le couple May/Ob-oom avec May comme pont entre les deux facettes de Ai-oon qui se font face.
Tumblr media
Ai-oon demande à May pourquoi elle l'aime, toujours sans se nommer, alors que le cadre se resserre sur May et Ob-oom, la réalité pour Ai-oon et non le reflet qu’elle habite.
May : "j'aime Ob-oom... Tu es mon premier amour, Ob-oom. May est tombée amoureuse de Ob-oom au premier regard."
Tumblr media
C’est un électrochoc pour Ai-oon puisque pour elle, May était déjà aveugle lors de leur rencontre, c’est bien Ob-oom qu’elle aime.
Elle repousse May, la caméra s'éloigne, on voit à nouveau le couple et leur reflet dans le miroir. May essaie de retenir Ai-oon, mais elle se défait de son étreinte.
Tumblr media
May "Ob-oom ?"
Ai-oon "Je suis désolée May"
Le cadre change une nouvelle fois, on voit le reflet de Ai-oon, le reflet du dos de May, la May réelle, mais Ob-oom n’est plus dans le cadre. Ai-oon dit qu’elle a besoin de prendre l’air et elle s’en va.
Tumblr media
Peut-être que j’extrapole, mais je trouve que cette scène retranscrit très bien toute la dissonance qui se joue pour Ai-oon et la complexité de la situation dans laquelle elle ne fait que s’enfoncer au fur et à mesure des épisodes.
Tumblr media
22 notes · View notes
camisoledadparis · 23 days ago
Text
saga: Soumission & Domination 339
Février le Ski-1
Pour Février j'organise une semaine à la montagne. En plus de la maisonnée, Marc et Hervé plus nous 4 (PH, Ernesto, Ludovic et moi), à part deux " médecins " tous mes escorts répondent présent. Même ceux qui n'ont jamais fait de ski sont partants. A ceux-là s'ajoutent Max et Enguerrand que leurs très bons résultats m'empêchent d'interdire de venir. Comme on ne veut pas s'embêter, je trouve un hôtel dans une grande station des Alpes où je retiens un étage entier, le dernier car il est privatisable. De leur côté, Jona et François s'arrangent pour nous faire mettre 4 chasseurs alpins à notre disposition pour nous enseigner et ou améliorer nos techniques de ski. Nous voyageons en train. Les places sont retenues depuis début janvier et nous sommes répartis dans deux wagons contigus. Direct jusqu'à Lyon où nous changeons de train. Dans le train les portables chauffent et ça bosse dans tous les coins pour dégager le plus de temps possible durant la semaine. A l'arrivée 4 minibus nous attendent devant la gare. Ils nous montent à la station.
Le débarquement dans le hall de l'hôtel d'une 30aine de personnes en même temps désorganise un peu la réception. Mais rapidement, le directeur nous prend en charge et nous emmène directement à notre étage. Dès l'ascenseur, mes acolytes se dispersent et courent de chambre en chambre afin de s'installer. J'ai juste le temps de leur dire que la suite à trois chambres est pour moi (ce qui inclus Marc, PH, Ludovic, Hervé et Ernesto). Le directeur nous y accompagne et en même temps nous rappelle les services que son établissement peut nous fournir : restauration et service à l'étage, piscine, spa, salle de musculation et même boite de nuit en sous-sol mais aussi réservation de matériel et de moniteurs particuliers aussi sans compter qu'il se chargeait de l'obtention des forfaits. Une heure après que Jona ait passé un coup de téléphone, les quatre militaires se présentent à l'accueille et le demande. Jona va les chercher puisqu'il faut un code pour aller jusqu'à notre étage. Quand ils sortent de l'ascenseur avec leurs paquetages et leurs skis sur l'épaule, ce n'est pas le fait qu'il n'y ait que des hommes qui les choquent (ça en caserne ils en ont l'habitude) mais plutôt le luxe dans lequel ils vont passer la semaine. Deux chambres leur ont été laissées. Que les lits soient doubles ne leur posent pas de problème. Je leur demande s'ils ont d'autres vêtements que leurs uniformes. Mais c'est évident que non puisqu'ils sont en service commandé ! Sauf une paire de survêtements. Quand ils ressortent, ils tombent sur mes escorts tous à moitié à poil en train de passer les uns chez les autres. Je m'aperçois que je ne les ai pas décrits. Ce sont 2 jeunes lieutenants et 2 caporaux chef, tous dans les 23/25ans, entre 1,80 et 1,85m, carré d'épaules et étroit de hanches. Leurs Knickers ne moulent pas que leurs cuisses et ils font honneur au sexe masculin. Mais là, le molleton des survêtements ne les avantage pas quand Jona me les ramène pour qu'on discute ensemble de la semaine à venir.
Ma première question est pour savoir s'ils ont été volontaires ou si leur capitaine les avait désignés. C'est avec plaisir que j'apprends qu'ils étaient tous les 4 volontaires. J'établi le programme. La première matinée leur permettra de faire 4 groupes selon les niveaux que nous avons. Je leur rappelle qu'à part Jona et François qui doivent devenir capable de passer partout, pour le reste du groupe c'est aussi des vacances. Quant à leurs conditions parmi nous, je ne vois pas de raison de leur faire un régime particulier. Je prends en charge leurs frais. Ils ont les mêmes droits que nous dans cet hôtel. Pas question qu'ils mangent à part ou bien qu'ils restent dans leurs chambres alors que nous allons nager ou danser. Je leur fais confiance pour trouver dans les gardes robes emportés par chacun les jeans, et polos qui en feront des nôtres. Ils sont un peu surpris par mon entrée en matière. Le plus vieux des lieutenants me remercie au nom d'eux 4. Il essaye de me dire qu'ils sont quand même en service commandé et de ce fait ils ne peuvent accepter. Devant eux, j'appelle aussitôt Le colonel responsable de nos deux " agents (Jona et François) ". Quelques mots et je raccroche. Encore 5 minutes et c'est le sien (de portable au lieutenant) qui sonne. Nous l'entendons plusieurs fois dire " oui capitaine" avant de raccrocher. Avec un grand sourire vers nous et ses 3 collègues, il nous dit qu'effectivement, il vient de recevoir l'ordre de se fondre dans le décor. François leur dit qu'en bons homos, nous avons tous emporté trois fois plus de fringues que nécessaire et que quelques soit les circonstances, ils trouveront de quoi être raccord avec nous. La fin d'après-midi se passe dans la boutique du loueur à s'équiper en skis et chaussures. Le matériel est récent à défaut d'être neuf. Les 4 professionnels nous aident à choisir le matériel adéquat à chacune de nos morphologies.
Pour cette première soirée, Jona leur indique chez qui ils vont emprunter leurs vêtements. Il connait les caractéristiques de chaque et sait du coup qui sont ceux dont les physiques sont les plus proches des leurs. Quand nous nous retrouvons tous pour aller diner, ce n'est que par leur coupe de cheveux réglementaire qu'ils se distinguent de nous. Les polos déjà ajustés sur mes escorts moulent de façon très sexe leurs pecs et on peut même compter les abdos ! Ils ont lié connaissances avec les escorts et ça discute travail des deux côtés. J'accapare le lieutenant responsable du petit groupe, sans uniforme il fait plus jeune. Les jeans slim qui lui ont été prêtés font ressortir ses cuisses puissantes et malgré cela son paquet promet beaucoup. Je le garde à notre table. Nous le mettons au parfum concernant notre petit groupe. Ce que sa hiérarchie lui avait dit de nous tiendrait sur un timbre-poste. Je suis content qu'il ne se sauve pas en courant quand nous lui apprenons qu'il va devoir enseigner son ski à une bande d'homos plus obsédés par le sexe que par la neige. De la table de droite, un des caporaux envoie qu'il faut pas mourir idiot. Il se fait aussitôt charrier par ceux de sa table. Quand je m'en ouvrirais plus tard à Jona, il me dira en souriant que son colonel avait pris en compte la spécificité de notre petit groupe lors de la sélection des chasseurs alpins et qu'ils savaient donc ce qui les attendait.    La soirée se passe bien. Tout le monde a fait connaissance avec nos 4 moniteurs et réciproquement. Ils se retirent dans leurs chambres par grade. Mes escorts se pressent dans notre suite pour savoir ce qui est autorisé avec eux autres. Je leur interdit juste de les violer et que pour le reste ce sont de grands garçons eux aussi, non ? Franche rigolade de mes escorts.
Le lendemain matin je suis debout de bonne heure (je n'ai pas besoin de beaucoup de sommeil). Je descends prendre le petit déjeuner et j'y trouve mes 4 moniteurs avec Jona et François. Je m'assois à leur table. Jona est entrain de leur donner un aperçu du niveau sportif de chacun. Leur chef me demande comment je me situe en ski. Ma réponse : 3ème étoile il y a déjà pas mal de temps les fait sourire. J'ajoute que ce qu'il nous faut ce n'est pas tant apprendre à skier de façon académique mais de rapidement nous permettre de descendre des pistes rouges en prenant du plaisir. Donc basta de l'apprentissage du chasse neige. Ils sont d'accord avec moi. Nous sommes trop vieux pour passer plusieurs semaines à des apprentissages de gamins. Ils se sont déjà répartis les groupes. Un des caporaux va se prendre les néophytes et l'autre le groupe juste au-dessus. Les lieutenants se prennent l'un les plus expérimentés (avec Hervé Marc, PH et Ludovic) et l'autre (le chef) les intermédiaires dont je fais partie avec Jona et François. Max et Enguerrand qui ne veut pas lui être séparé sont aussi dans notre groupe. Tout cela est confirmé dans la matinée. Et nous nous quittons pour la journée.
Notre lieutenant nous regarde descendre deux pistes rouges chacun avant de nous réunir. Nous sommes 7. Il y a les 5 déjà sus nommés plus Maxou et Clément. Il fait un point avec chacun et décide qu'à chaque descente il va prendre l'un de nous. Maxou ne peut s'empêcher de lui demander s'il pourra garder son pantalon, le fond de l'air étant frais. Notre moniteur met quelques secondes à comprendre que sa formulation pouvait prêter confusion dans l'esprit tordu d'un PD en chaleur. Un petit coup d'épaule et Maxou mange la piste. En fin de matinée nous avons tous reçu ses premières remarques et nous les avons déjà mises en pratique. Il passe encore son après-midi à rectifier nos positions et autres " plantés de bâton ". Quand nous retrouvons les autres en fin de journée, nous sommes sur les rotules. Ce qui me fait plaisir c'est que les meilleurs sont dans le même état.
A l'étage, c'est l'heure des douches. Comme nous sommes chez nous, toutes les portes des chambres restent ouvertes. L'eau chaude a eu son effet relaxant car j'entends vite des courses poursuites. Quand j'arrive, je vois Enguerrand à poil, coursé par nos deux russes dans le même appareil, se réfugier chez nos deux lieutenants. Il hurle qu'il demande protection et se cache derrière notre instructeur. J'admire la ruse de mon petit beau-frère ! Il a calculé juste et nos deux militaires sont encore en boxer. Je reste à la porte alors que s'ensuit une fausse bagarre entre l'armée et mes deux slaves. Surpris les deux lieutenants se font étaler comme des bleus. Mes duettistes russes les laissent se relever et ils luttent sérieusement. Les forces sont égales. Les militaires sont plus lourds et plus expérimentés mais mes hommes sont plus lestes et ils savent faire des yeux à la " chat botté " de Shrek juste au moment où ils vont s'en prendre une et ça désarme leurs adversaires. Du coup ils se retrouvent sur le dos, mes deux Escorts sur leurs ventres tout ce petit monde bande et les pelles tentées par les vainqueurs ne sont pas rejetées. J'entre en jeu et redresse mes escorts en m'excusant auprès de nos militaires de leurs comportements déplacés. Puis je mate très franchement les boxers blancs déformés par leurs sexes en pleines formes. Réponse des intéressés, pas de problème nous étions volontaires pour vous encadrer ! Dans mon dos c'est aussi ce que me rappellent les deux caporaux déjà accompagnés de près par un de mes couples.........chacun. Après un instant de gêne, éclat de rire général. Avant de les laisser régler leur " petit problème ", je préviens les militaires qu'ils sont aussi libres que mes propres hommes et que ce qui se sera passé cette semaine ne fera pas l'objet d'un rapport de ma part. J'entends un " heureusement " provenant de mes escorts. Des caporaux un " super, en plus des vacances ont va vraiment s'éclater " et du lieutenant " chef ", " OK les gars on se fait ça comme ça ". Maintenant tout est clair et pas besoin de se retenir pour eux ni avec eux.
On se fringue pour descendre diner. Ça se vanne sur les progrès de chacun, à l'apéritif, les 4 militaires me donnent un bref aperçu de leurs journées. Puis nous dinons. Vu les dépenses énergétiques de la journée, nous faisons un sort à la carte du restaurant. Quand je vois nos militaires hésiter alors que nous même reprenons un deuxième plat, je leur rappelle qu'ils doivent se fondre avec nous et que s'ils sont les seuls à ne pas en reprendre ça va faire tâche. Nous remontons nous détendre avant de descendre à la piscine. Elle est fermée mais pas pour nous. Je trouve deux Aussiebum pour nos lieutenants et je charge Jona de trouver de quoi couvrir les culs des caporaux. J'attends qu'ils les passent pour qu'on descende. Le système suspenseur de couilles les avantage, encore que cela n'ait pas été nécessaire. Notre traversée du hall en direction de la piscine détourne quelques regards et pas que des femmes présentes ! La piscine de l'hôtel fait 25 m par 4 lignes d'eau. Nous l'envahissons. Ce qui étonne nos militaires, alors qu'ils pensaient que nous allions faire les fous, c'est qu'on se répartit dans les lignes et que nous nageons en files. Ils s'intègrent et ils tiennent le rythme plusieurs km de suite.
Quand nous sortons de l'eau, Anthony se permet quelques conseils. Ils sont bien reçus, nos militaires sont pros et ils savent que ce n'est pas leur sport de prédilection. Retour à notre étage en passant par le bar où notre arrivée en peignoirs blancs perturbe les autres consommateurs. Chacun prend l'alcool qu'il désire. Je commande juste une coupe de champagne pour nos benjamins Max et Enguerrand. Nous remontons détendus par l'eau et par l'alcool. Alors que je vais pour me coucher, je note que le couloir est vide mais que les portes des chambres restent ouvertes, même celles des militaires. Je laisse les nôtre ouvertes aussi et c'est rapidement que nous parvient des bruits tout autres que de sommeil. Nous même (Marc, PH, Ludovic et moi) nous câlinons avant de sombrer dans les bras de Morphée. Je me réveille ce coup-ci le premier. Je passe de chambre en chambre voir qui dort avec qui. Pour cette première nuit les couples sont restée ensemble sauf mes deux russes qui ont capté les deux lieutenants et que je trouve entassés dans le lit King size tous les 4, à poil, les militaires sur le dos et mes deux escorts le bras en travers de son lieutenant. Je me glisse au chevet de mon lieutenant et lui hurle à l'oreille un " garde à vous " qui le réveille en panique. Il se redresse et éjecte du même coup Viktor qui le couvrait à moitié. Je m'écroule de rire. Ils me sautent dessus à 4. Je finis à poil sous leur douche. Mon intervention a réveillé tout l'étage. Ça tombe bien c'était un peu ce que je voulais. Nous sommes dans les premiers au petit déjeuner. Avec l'expérience de la veille, tout le monde mange beaucoup plus ce matin. Les militaires comme Jona nous poussent à avaler des sucres lents pour tenir toute la matinée.
Jardinier
Tumblr media
~~
Tumblr media
~~
Tumblr media
~~
Tumblr media
7 notes · View notes
detournementsmineurs · 2 months ago
Text
Tumblr media
"Portrait de Paul-Guillaume Lemoine" dit "Le Romain" architecte de l'hôtel particulier de Beaumarchais par Joseph-Benoît Suvée (crica 1772-82) présenté sur les boiseries en chêne de la "Chambre du Prieur du Couvent des Prémontés" anciennement rue Hautefeuille (circa 1720) dans le parcours des Collections Permanentes du Musée Carnavalet, Le Marais, Paris, novembre 2024.
2 notes · View notes
beautifulcentury · 1 year ago
Text
Hector Guimard (Musée des arts décoratifs, Paris)
Tumblr media
Une chambre à coucher de l'hôtel Nozal, vers 1903 (détails)
De 1902 à 1905, l'architecte Hector Guimard réalise l'hôtel particulier de l'industriel Léon Nozal situé au 52 rue du Ranelagh à Paris. Le mobilier de la chambre à coucher est exécuté à l'occasion du mariage de Caroline Nozal, fille de Léon Nozal avec Albert Pézieux en 1903.
Guéridon, Paire de vitrines, Lit, Chaise longue, Table de nuit, Armoire, Chaise (poirier, mouluré et sculpté, garniture non originale) réalisés par les ateliers d'art et de fabrication Guimard
La paire de vases et le plateau, en bronze, sont de Paul Philippon, fondeur
Le vitrail est de Georges Néret, vers 1887-1898
Le tableau "La fuite des nymphes" est de Henri-Edmon Cross, 1906
10 notes · View notes
carbone14 · 1 year ago
Text
Tumblr media
Les ravages des bombardements alliés, en particulier celui de la RAF dans la nuit du 13 au 14 février 1945 vus depuis la tour de l'Hôtel de Ville vers le sud de la ville de Dresde – Bombardements de Dresde – Dresde – Allemagne – Photo prise entre le 17 septembre et le 31 décembre 1945
Photographe : Richard Peter
11 notes · View notes
downhill-rp · 11 months ago
Text
Tumblr media
Vivre à Downhill
Petite ville américaine sans histoire de 35 000 habitants, Downhill ne fait pas vraiment parler d'elle en dehors de ses frontières. Tellement peu, à vrai dire, que beaucoup ignorent même son existence, tant il ne s'y passe rien d'intéressant.
Quelques détails 1 · À Downhill, tous les numéros de téléphone commencent par l'indicatif (745), au lieu de ceux qui sont généralement utilisés dans le reste de l'Indiana. Cet indicatif n'est utilisé nulle part ailleurs dans le reste du pays.
2 · En réglant sa radio sur la fréquence 28.9FM on peut y entendre être diffusé quasiment en continu la même chanson, I'm Waiting Just For You par Wanda Jackson, de 9 heures du matin à 9 heures du soir. Le reste du temps, on n'y entend que du bruit blanc, et, parfois, si on tend un peu l'oreille on peut entendre une voix mécanique répéter "Warwick. Gabriel. Kieran. Patrick." en boucle.
3 · S'il n'y a pas d'écrans plats à Downhill et que les gens préfèrent les télévisions à tube cathodique, ou même les téléphones à cadrans, ce n'est pas pour autant qu'on vit entièrement dans le passé. Internet est extrêmement rapide en ville et tout le monde utilise la fibre optique.
4 · Au sud de la ville, au-delà de Chester's Lake, une base aérienne abandonnée depuis plusieurs décennies a pris domicile dans les bois. Ses vieux hangars rouillés et ses bâtiments qui tombent en ruines ont tendance à attirer les squatteurs, les excentriques et les explorateurs urbains.
————
🗺️ Localisation À Downhill, on aime plaisanter que toutes les routes mènent en ville. Et c'est vrai. Situé au nord de toutes les direction dans l'Indiana, si on ne la cherche pas, Downhill est très facile à trouver. Just 100 miles away.
🌡️ Climat Le climat en ville est dans la moyenne de l'état, en plein été il peut en général faire jusqu'à 29°C et jusqu'à -6°C en hiver. De temps en temps, il arrive que la météo se dérègle et qu'il se mette à neiger en été, ou qu'il fasse plus de trente degrés en hiver, mais qu'est-ce qu'on y peut, c'est la faute au réchauffement climatique.
🧑‍🤝‍🧑 Démographie Downhill est une ville très diverse, même si selon ses propres nombres, on y compte 28% de la population avec des origines afro-américaines ; 21% avec des origines asiatiques ; 18,9% avec des origines latino ; 6% avec des origines natives-américaines ; contre 60% avec des origines blanches.
🚖 Transports La ville possède une gare ferroviaire, la même depuis sa fondation, qui a toujours été en activité et est le principal moyen de transport utilisé par les habitants pour aller et venir de la ville à une autre. On y trouve aussi quatre lignes de bus, la ligne 1, la ligne 3, la ligne 4 et la ligne 5 qui desservent tout Downhill en continu jour et nuit, sauf le mercredi. Un projet d'aéroport est en discussion depuis 1941.
🎓 Éducation Si la ville ne possède pas sa propre université, on y trouve néanmois trois collèges, deux écoles maternelles, un lycée et un community college. 67% de la population a fait des études supérieures après le lycée, et 99% des élèves de Downhill mènent leurs études jusqu'au bout. (Le lycée de Downhill ne permet plus à ses élèves d'abandonner leurs études depuis 2001.)
👮 Criminalité Avec un taux de criminalité extrêmement bas, voire parfois inexistant, Downhill a de quoi se vanter ! Les habitants de Parker's Lane, en particulier, s'y sentent tellement en sécurité qu'ils n'ont même pas besoin de verrouiller leurs portes d'entrées. Sauf le mercredi, quand les chauffeurs de bus ne travaillent pas.
🏛️ Culture Juste en face de l'hôtel de ville, on peut trouver la seule bibliothèque publique de Downhill, elle y sert aussi à conserver les archives de la ville. En centre-ville, les curieux peuvent visiter le musée de la ville et son exposition quasi-permanente sur l'Egypte Ancienne. Et, finalement, on peut aussi trouver l'observatoire astronomique sur les collines de Cove Road.
🛎️ Services Downhill est l'une des rares villes américaines à encore pleinement employer un service de livraison quotidienne de lait à domicile. Tous les jours, de 4:00 à 6:00, en même temps que les éboueurs, les livreurs de lait parcourent la ville à bord de leurs camionnettes blanches et bleues, le pistolet à la ceinture.
4 notes · View notes
cricxuss · 7 months ago
Text
Tumblr media
"Le Maître de Poupée"
Il l'avait amené dans cette chambre d'hôtel.
Mais pas directement, non. Sur le trajet en voiture, il s'était arrêté par deux fois, s'engageant sur des routes détournées, à la recherche d'endroits tranquilles pour l'embrasser, la caresser, la doigter.
Il l'avait même fait descendre du véhicule, en bord de route, et lui avait fait remonter sa jupe, en appui sur la portière côté passager. Là, il a descendu sa culotte et l'a enlevée, l'a mise cul nu, et lui a administré une fessée, pendant une quinzaine de secondes peut être.
La main était ferme, rapide, précise dans ses impacts. Telle qu'elle l'avait rêvée. Et puis ils sont remontés en voiture, et ils sont repartis, lui une main sur le volant et l'autre occupée à doigter le sexe féminin encore plus trempé. Rien que pendant leurs courts arrêts, il l'avait déjà emmenée vers la jouissance par deux fois, au moins. Et maintenant, elle avait le cul rougi, grâce à lui. Pas au point à ce que le reste du trajet soit inconfortable, suffisamment pour que l'état de son fessier ajoute un peu de piquant.
L'hôtel n'était qu'un de ces multiples lieux accueillant les voyageurs en bord de route, sans charme particulier, la chambre était des plus banales, mais elle espérait y vivre des moments extraordinaires, en se livrant pour la première fois à lui, même si ce n'était que pour à peine plus d'une heure.
Il l'avait déshabillée, l'avait mise toute nue, et déposait ici et là des baisers sur son corps. Ses mains la parcouraient avec douceur, et il n'hésitait pas à la prendre dans ses bras, l'appelant "Ma Poupée". Dos nu contre lui encore tout habillé, elle se vit un bref instant dans le miroir au dessus du lavabo, dans le recoin de la chambre, et elle vit le reflet du sourire de l'homme qui était en train de devenir sans aucune hésitation son Maître. Il l'amena auprès du lavabo, sur lequel il la fit poser ses petites mains, d'autorité. Il lui caressa lentement le dos, la faisant se plier en deux par sa tendresse, et puis, arrivé en dessous du creux des reins, la tendresse se mua en cet orage de volupté qu'elle attendait.
La fessée claquait, forte et drue cette fois. Chaque impact la faisait trembler sur ses appuis. En quelques secondes de ce traitement, elle perdit pied avec la réalité, les yeux mi clos. Elle ne se plaignait pas, ne gémissait qu'à peine et toujours de ce plaisir corrompu qu'il lui infligeait. Jamais elle ne dit stop, mais de lui même il s'interrompait de temps à autre, lui offrant quelques caresses aussi délicates que ses mots doux, des baisers délicieux rehaussés de mordillements qui là aussi, elle le sentait, lui marquait sa peau.
Parfois il changeait de cible, et sa main frappait, avec mesure, son entrejambe détrempé, y provoquant de nouvelles ondes de plaisir.
Elle était complètement abandonnée, subjuguée, dans un autre univers dont elle avait pourtant si souvent rêvé mais qui dépassait encore ses plus folles espérances sous les mains de cet homme aussi expert en provocations qu'en délicatesses. Ces contrastes d'ailleurs participaient sans doute à l'abandon total qu'il provoquait. Elle se sentait en osmose, en osmose et en sécurité, aussi étrange que cela puisse paraître au vu de ce qui lui arrivait.
Il fit une pause, plus longue, lui permettant de reprendre un peu ses esprits. Elle n'avait plus de nom, elle n'était plus que sa Poupée, un rôle qu'elle endossait avec une fierté fébrile, comme si elle avait attendu de le jouer toute sa vie. Il avait sorti du sac qu'elle avait trimballé le cadeau qu'elle lui destinait, dont il avait évidemment deviné la nature sans l'ouvrir. Et puisqu'elle souhaitait offrir ce cadeau extrêmement symbolique, il s'était mis assis sur le rebord du lit, tandis qu'elle ouvrait la boîte pour en sortir un collier de cuir et une laisse aux maillons métalliques. Elle du se mettre à genoux devant lui pour lui proposer l'objet, et lui demander de le lui passer.
Elle avait à peine fini sa phrase que la voix de son Maître ajouta:
"Ne manque t'il pas quelque chose?"
Elle se reprit, et ajouta à sa requête le "S'il te plaît..." attendu.
Lorsqu'il lui passa le collier, le referma sur son cou, ce fut pour elle un moment d'intense émotion.
Et puis son Maître lui parla ainsi, en lui caressant le visage et les seins, joignant le geste à la parole:
"Je sais que tu vas m'accueillir là, dans ta bouche, dans ton sexe, dans ton cul. Et je vais t'embrasser ensuite pour te remercier de m'y avoir accueilli. Mais tout d'abord, je vais embrasser ton front, parce que tu m'as accueilli dans tes pensées, et si tu ne l'avais pas fait tout le reste ne serait pas advenu."
Et, avec une infinie tendresse, il embrassa le front féminin, longuement, dégageant du bout des doigts ici et là quelques boucles brunes.
Puis il la fit mettre à quatre pattes, au sol, passant ses jambes de part et d'autre de ce corps fin, lui administrant à nouveau une fessée tout en tenant la laisse dans l'autre main. Il dénoua sa ceinture, dont le cuir mordit les chairs maintenant rouge vif le temps de quelques fracas. Ensuite il la doigta à nouveau, un doigt, puis deux, puis trois, et surprit sa chatte en y enfonçant quasiment l'intégralité de sa main, alors qu'elle se tordait d'extase.
Il poussa son inventivité dans le vice jusqu'à passer la laisse métallique sous le corps de sa Poupée, faisant passer les maillons entre ses lèvres intimes, lentement. Il écoutait les réactions du corps de sa soumise, et était satisfait de la vor les yeux mi clos, la bouche entrouverte sous la stupéfaction, comme perdue dans la sensation.
Il la remit debout, soulevant sa Poupée dans ses bras pour la mettre au lit tout proche. Il l'embrassa, avec douceur, lui ordonnant de caler sa tête sur l'oreiller, les jambes bien écartées. Pendant ce temps où elle s'installait, il se déshabilla à son tour, et vint la rejoindre nu sur le lit.
Il plaça sa bouche sur le sexe féminin si bien offert, et la mangea.
Une fois encore, elle perdit le contrôle de son corps, alors qu'il l'amenait au bord de l'orgasme, notamment lorsqu'il mordillait les lèvres intimes entre deux profonds coups de langue. Jamais elle n'aurait cru qu'elle pourrait réagir ainsi, si fort, si vite, si puissamment. En général, lors d'un premier rendez-vous, elle n'arrivait pas à s'abandonner autant.
Une fois de plus il fit jouer plusieurs de ses doigts dans son intimité, provoquant un nouveau cataclysme alors que sa main s'y introduisait à moitié.
Lorsque, toujours vigilant, il la sentit à bout de souffle, le ventre saccadé par les émotions ravageuse qu'il y provoquait, il s'ordonna une pause. Il s'allongea à son tour sur le lit, et la Poupée put enfin goûter à son tour à sa peau, donner libre cours à ses envies à elle, à sa gourmandise et sa fantaisie. Elle l'embrassa, le renifla, le lécha, le suça.
Il reprit la laisse en main, une fois sa verge endurcie par les allers et retour délicieux de la bouche féminine, et puis la laissa le chevaucher, à cru, comme elle en avait envie. Elle caressa son sexe du sien, à petits coups de reins, comme la Poupée qu'elle était.
Il la laissa faire un petit moment, savourant les plaisirs qu'elle lui offrait.
Puis il sourit.
Et la baisa.
Ses coups de reins à lui étaient profonds, rythmés, dominateurs. Elle avait beau être au dessus de lui, c'était bien lui qui menait la danse charnelle.
Quand elle s'écroula sur le lit, il la mit sur le ventre, et s'éclipsa un instant pour aller chercher le lubrifiant anal dans le sac, l'utilisant avec l'abondance requise sur le petit trou. Il la doigta encore, mais cette fois ci des deux côtés, jusqu'à ce qu'elle le supplie de l'enculer.
Ce qu'il fit avec délectation et délicatesse.
Tout en tenant la laisse, bien sûr.
Il sortit du petit cul rouge de sa Poupée sans avoir joui encore, la doigta à nouveau, cul et chatte, puis concentra ses impudeurs sur le sexe de sa soumise.
Jusqu'à déclencher son éjaculation. Une fois, deux fois, trois fois, quatre fois. Il fit d'elle une femme fontaine au sexe hypersensible.
Il lui ôta collier et laisse, lui offrit un temps de tendresse, de câlins, en remerciement de tout ce qu'elle lui avait offert, de tout ce qu'elle allait lui offrir. Car, ils le savaient tous les deux, ce n'était que le premier rendez-vous.
Le temps passait, et il leur faudrait bientôt se séparer. Ils quittèrent le lit aux draps mouillés, et passèrent sous la douche. très vite, il fit mettre sa Poupée à genoux, et habita sa bouche. Et cette fois ci il y jouit, enfoncé dans sa gorge au point de lui faire recracher une partie de sa jouissance. Ne voulant pas tout gaspiller de sa semence, elle récolta ce qu'elle put avec ses doigts sur ce qui était tombé sur sa peau.
Et puis ils se lavèrent, il la rinça. Ils se séchèrent avec la serviette, se rhabillèrent. A la demande de son Maître, la Poupée resta seins et fesses nus sous les vêtements. Elle voulait s'essuyer les pieds avant de remettre ses chaussettes, mais il la fit s'assoir sur le lit, et frotta lui-même les pieds nus de sa soumise avec une serviette. Elle en rougit, de cette attention délicate, alors que jusque là, seules ses fesses avaient rougi.
Ils quittèrent l'hôtel. Il aurait pu, il est vrai, lui demander de garder son collier et sa laisse, pour l'amener jusqu'à la voiture, et elle aurait accepter. Elle était sa soumise. Elle le sentait. Elle avait juste eu la confirmation.
Il la surprit encore, en lui ouvrant la porte passager. Elle rougit encore de cette galanterie dont elle avait si peu l'habitude.
Peu d'hommes savaient s'autoriser d'être aussi sauvages qu'attentionnés.
Peu d'hommes auraient su faire d'une femme un peu farouche une soumise dévouée, une Poupée dont ils seraient le Maître.
(Copyright Lucas Heller, 25/05/2024)
2 notes · View notes
Text
Tumblr media
Tracklist:
Melody • Ballade de Melody Nelson • Valse de Melody • Ah ! Melody • L'hôtel particulier • En Melody • Cargo culte
Spotify ♪ YouTube
2 notes · View notes
philoursmars · 9 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Quatrième et ultime étape de mon périple dans l'Ouest pour retrouver des ami(e)s lointain(e)s il y a un bon mois déjà : ma sœur Dominique et son mari, à Alençon, aux confins de la Normandie et des Pays de Loire.
Une balade à Sées. Ici, un hôtel particulier Renaissance (l'Hôtel Bélier de Villiers), et moi qui semble complètement paumé...
4 notes · View notes
toilou-norvetaxique2023 · 1 year ago
Text
Jour 30 - Nouvelle-Orléans
Nous commençons la journée par le musée national de la seconde guerre mondiale. D'extérieur il a déjà l'air immense... mais à l'intérieur 😱😱 vraiment la démesure américaine !
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
On en apprend pas mal sur la guerre du point de vue américain, en particulier sur le front pacifique. 🌏
Il y a un énorme travail de décoration dans chaque pièce pour nous immerger dans les batailles et villes dont il est question.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Nous y passons la matinée et poussons jusqu'à 13h30, l'heure pour nous d'aller chercher à manger chez Popeyes, le fast food de Louisiane.
Nous nous dirigeons vers l'hôtel pour manger puis regarder la deuxième mi-temps du classico à la piscine ! Et quel match 😍❤️💙
Tumblr media
L'aprem est assez chill, nous restons un moment dans la piscine jusqu'à ce que les insectes me fassent fuir 😂
4 notes · View notes
thomas-querqy · 1 year ago
Text
youtube
A Brno (Tchéquie), la villa Tugendhat tient la vedette auprès de tous ceux qui s'intéressent à l'architecture du XXe siècle, en particulier à l'architecture de l'entre deux guerres, moment d'émergence de l'architecture moderne, avec notamment l'école du Bauhaus. Ludwig van der Rohe, qui en fut l'un des directeurs, l'a conçue en 1930.
Son inscription au patrimoine mondial de l'UNESCO a permis une belle rénovation en 2001, mais pour la visiter (en petit groupe), il faut s'y prendre plusieurs mois à l'avance. A défaut, comme nous, vous pourrez l'admirez de l'extérieur puisque l'accès au jardin reliant la villa Löw-Beer en contre-bas est libre.
Quoi qu'il en soit, vous vous consolerez sans difficulté avec pas moins de 760 constructions référencées sur ce site :
Tumblr media
Parmi elles, cette villa a titillé ma curiosité par son nom : "villa pour deux jeunes hommes". L'architecte Otto Eisler l'a faite construire pour lui et son frère Mořic, une maison pensée parfaite pour deux jeunes passionnés de sport, de musique et collectionneurs, recevant en nombre intellectuels et artistes.
youtube
R.A. Dvorský et ses Melody boys
Je ne fus guère étonné de lire dans la fiche wikipédia d'Otto Eisler qu'il a été persécuté par les nazis pendant l'occupation allemande de la Tchécoslovaquie parce qu'il était à la fois juif et présumé homosexuel. "En avril 1939, il fut arrêté par la Gestapo et incarcéré à la prison de Špilberk, où il fut apparemment torturé. Lorsqu'il fut mis en congé, il s'enfuit en Norvège, où il arriva le 21 février 1940. Après l'invasion de la Norvège par l'Allemagne, il tenta de fuir vers la Suède mais fut blessé par balle à quelques mètres seulement de la frontière, puis déporté à Auschwitz à bord du SS. Donau. Là, il retrouve son frère Mořic (Moriz), avec qui il survit à la marche de la mort vers Buchenwald."
Tumblr media
“Les frères” Rudolf Koppitz, 1928.
Ces deux frères qui vivaient ensemble m'ont rappelé une visite à l'hôtel Martel dans le XVIe arrondissement de Paris, construit peu avant, par un autre grand architecte du "Mouvement moderne", Robert Mallet-Stevens :
2 notes · View notes
detournementsmineurs · 1 year ago
Text
Tumblr media
La "Demeure de Corsaire" visite-guidée de l'hôtel particulier de François Auguste Magon de la Lande, corsaire de Louis XV, directeur de la Compagnie des Indes et armateur (1725) , Saint-Malo, Bretagne, septembre 2023.
3 notes · View notes
Text
J8▪️Duderstadt - Ebergötzen
15,8 km [166,1]▫️+145 m [+2 870]▫️21 °C
L'étape du jour a ceci de particulier que c'est moi qui l'ai créée intégralement. Le chemin “officiel” passe bien plus au sud, mais les rares villages traversés n'offraient pas d'hébergement. Le seul que j'ai trouvé était ici à Ebergötzen, bien plus au nord, trop au nord pour ajouter juste une verrue au tracé. Il a donc fallu être plus radical et imaginer un itinéraire fait de chemins de champs et de petites routes, en espérant que la carte soit à jour et ne cache pas quelques pièges. Nous verrons bien !
Le chemin se déroule sans encombres au milieu d’une campagne agricole et sous un ciel couvert qui laisse parfois tomber quelques gouttes mais en quantité insuffisante pour appeler ça de la pluie. Nous croisons par ordre d’apparition un vorace charançon, un sautillant chevreuil, un impérial milan royal et de placides cigognes, ce qui n’est pas si mal en termes de biodiversité (nous avons appris à nous contenter de peu).
De loin, l'hôtel à la façade peinte a fière allure. De près, un peu moins. Le restaurant est fermé depuis trois ans, m'avait informé le propriétaire lorsque je m'étais enquis si nous pourrions y manger le dimanche soir, mais le dernier menu est toujours affiché, s'effaçant lentement sous l'effet du soleil et du temps. C'est un peu la métaphore du lieu. Issue de la même imprimante mais un peu plus fraîche, une feuille nous indique un numéro à appeler. Quelques minutes plus tard, un vieux monsieur nous hèle d'un « Bonjour » malicieux avant de repasser en allemand. Nous le suivons. L’accès se fait par le côté. Nous entrons dans la salle de restaurant pour remplir la fiche. C'est sombre. Une grande table a été reconvertie en circuit de train électrique. Des outils traînent. Le propriétaire gravit difficilement les marches de moquette bleue qui mènent à notre chambre. Papier saumon, rideau vert, draps rouges, couette noire rehaussée de rouge, bureau gris et penderie blanche. De la recherche aussi à la salle de bain avec, au-dessus du carrelage, une bande de papier peint à motif de poissons et au plafond des vols de mouettes. Logique.
À 17 heures pétantes, nous quittons notre nid d’amour pour la Gästehaus du village qui vient d’ouvrir. Ne nous méprenons pas, elle vient d’ouvrir car ses horaires d’ouverture du dimanche sont 17:00-20:00. Sinon, elle est ouverte depuis longtemps et serait plus proche de fermer, si j’en juge l’âge et l’état de forme de ses propriétaires-serveurs-cuisiniers…et l’âge des clients. Les plus jeunes sont de bons cinquantenaires, tous les autres ont passé le cap de la soixantaine, voire plus. Et tout le monde mange à six heures du soir ! Mireille, on file un mauvais coton. Pour l’année prochaine, je crois que j’ai trouvé un chemin qui passe à Ibiza avec DJ rando !
4 notes · View notes
if-you-fan-a-fire · 2 years ago
Text
Tumblr media Tumblr media
"Sept autres témoins au procès des marins Twynham et McGurk," Le Soleil. October 24, 1942. Page 22 & 5. ---- Au delà de vingt témoins ont été jusqu'ici entendus au procès des marins Maurice Twynham et Robert-Douglas McGurk accusés du meurtre d'Hector Tremblay, de Matane - Trois médecins comparaissent. --- La Couronne a fait entendre sept témoins hier après-midi au procès des marins Maurice Twynham et Robert-Douglas McGurk, accusés du meurtre d'Hector Tremblay, un bûcheron de Matane qui fut trouvé inconscient à l'angle des rues St-Pierre et St-Paul le matin du 21 pas juin dernier.
-Avec Charbonneau et Mile Sansfaçon, Nous sommes partis ensemble. -A ce moment, vous, vous étiez -Non, -Ensuite?bien, je veux dire "pas mal-Avez-vous pris quelque chose?chaud"? -Oui.-Vous avez pris un taxi?(Suite à la page 5. 2e col.)
Le procès s'est instruit lundi matin aux assises criminelles devant l'hon. juge Lucien Cannon, de la Cour Supérieure. Au delà d'une vingtaine de témoins ont été jus- qu'ici appelés par les procureurs de la Couronne. Me Eugène Marquis, C.R.. et Me Jean Lesage. Il leur en reste encore quelques-uns à faire entendre. Ils commenceront de les appeler lundi matin alors que le procès se continuera. Tout indique que les procureurs prononceront leur plaidoyer au début de la semaine.
Le premier témoin entendu, hier après-midi, Paul-Henri Cyr, a été assez longuement transquestionné par les procureurs de McGurk et Twynham, Me Ross Drouin et Me Antoine Rivard, C.R.
M. Cyr est une des personnes qui ont aperçu Tremblay, étendu sans-connaissance, après l'attentat.
Les autres témoins de l'après-midi ont été M. Gérard Frenette. pressier, de Lévis, le constable Thomas-James Stapleton, de la Sûreté municipale à Québec, le Dr Jean Sirois, spécialiste, le Dr Roméo Gagnon, de Québec, le Dr Hector Beaudet, attaché à l'hôpital de l'Enfant- Jésus, et M. Yvon Pelletier.
Les médecins ont déclaré que la victime ne portaient pas de marques laissant soupçonner qu'elle ait été violemment battue.
M. Stapleton, lorsqu'il est arrivé auprès de la victime, a constaté que les poches de ses vêtements avaient été retournées. De plus, il a constaté que le corps de Tremblay était étendu entièrement sur le trottoir) et près du mur de l'édifice Sun-Trust.
PAUL-HENRI CYR Me Drouin : Voulez-vous dire - à la Cour, M. Cyr, d'où vous êtes parti ce soir-là ? - De l'hôtel Bélanger. - A quelle heure? - Vers deux heures et quart. - Et dans la veillée, de bonne heure ? - Je suis d'abord parti de chez moi vers 5 heures et 30 ou 6 heures. - Avez-vous rencontré quelqu'un ? - Oui, Charbonneau. - Où l'avez-vous rencontré? - Au restaurant de l'Armée, sur la rue St-Paul, restaurant qui s'appelait autrefois "Le Maginet". - Quand l'avez-vous rencontré? - Vers minuit et 30. - Avant minuit et 30, avez-vous pris quelque chose? - Oui, de la bière et du fort. - Au cours de la veillée ? -Oui. - Après avoir rencontré Charbonneau, étes-vous resté quelque temps au restaurant de l'Armée ? - Oui. - Jusqu'à quelle heure? - Jusqu'à 2 heures. - Vous êtes parti avec Charbonneau pour aller où? - Sur la rue St-Pierre? - Et de là où êtes-vous allés? - A l'hôtel Brochu - Avec qui?
- Oui. - Vous avez pris la rue St-Pierre, Dalhousie et St-Paul, vous dirigeant alors vers le Sun Trust? - Oui. - Quelle heure était-il? - Deux heures et 30. - Vous avez passé l'intersection des rues St-Paul et St-Pierre? - Oui. - Vous vous dirigiez vers le palais? - Oui. - C'est en revenant que vous avez aperçu Tremblay ? - Oui. - Vous étiez sous l'influence de la bolsson ? - Oui. - Lorsque vous avez vu les trois marins, vous vous dirigies vers le restaurant de Pellettier ? - Oui. - Vous étiez alors avec Charbonneau. - Non - Où l'avez-vous rejoint, Charbonneau ? - En revenant au restaurant de l'armée.
- C'est du restaurant de l'armée que vous êtes parti avec Mlle Sansfaçon et Charbonneau ? - Oui. - A part de l'intérêt particulier que vous portiez à Mile Sansfaçon, vos souvenirs sont vagues? - Oui. GERARD FRENETTE Me Marquis: Vous avez vu un blessé à la bas-se-ville au cours du mois de juin ? - Oui. Au coin de St-Pierre et St-Paul. - Etes-vous débarqué de l'auto? - Non on a continue. - Pourquoi ? - On est allé chercher in police. - Qui avez-vous ramené ? - M. Stapleton. - Y avait-il du sang ? -Oui. Le juge: Où avez-vous transporté le blessé? - A l'hôtel de ville. JAMES STAPLETON Me Marquis: Vous avez eu un appel pour un accident au cours du mois de juin? - Oui. - Qui vous a appelé ? - Un chauffeur de taxi. - Y avait-il du sang? - Sur le trottoir et sur les vêtements de l'homme étendu. - Qu'avez-vous fait ? - L'homme a été monté à l'hôtel de ville. - Avez-vous appelé un médecin ? - Oui, le Dr Gagnon. - Dans quelle position était le blessé? - Couché sur le dos. - Et ses vêtements ? - Ils avaient les poches retournées. - Le corpe était-il complètement sur le trottoir ? - Oui, complètement à côté du mur. Me Rivard : - Donc, il était complètement sur le trottoir ?
-Oui. - A 2 heures et 30. Curado est allé vous voir? - Oui. - Vous avez alors pris la rue Dalhousie? - Oui. - Y avait-il beaucoup de monde auprès du corps? - Oui. - Des marins ? - Non. - Des soldats ? - Non. - En ce qui concerne ses habits rien n'indiquait que la victime avait été violentée ? - Rien à part des poches quiétalent retournées. Dr JEAN SIROIS Me Marquis: Vous êtes spécialiste? - Oui, en chirurgie nerveuse. - Dans le cours du mois de juin, vous avez eu un patient du nom d'Hector Tremblay ? -Oui. - Voulez-vous dire ce que vous avez constate? - II etait inconscient et portait des marques évidentes de fracture du crâne. - Vous l'avez revu? - Oui, je l'ai suivi jusqu'à sa mort. - De quoi est-il mort? - Des suites de cette fracture du crane.
DR ROMEO GAGNON Me Marquis - Dans la nuit du 20 au 21 juin, vous avez eu l'occasion de traiter un patient ? -Oui. - Quand vous l'avez vu dans quelétat était-il ? -Il y avait une marque de sang en dessous de sa tête. Il avait la figure sale, de la poussière et du sang mêlé. J'ai nettoyé la face afin de voir s'il y avait des blessures. Il n'y avait rien de particulier dans le visage. Ce qui a le plus attire mon attention, ce fut l'écoulement de sang par l'oreille droite. J'ai crua la probabilité d'une fracture du crâne vu la persistance de l'hémorragle. Derrière l'oreille, il y avait un gonflement de sang. Le patient se plaignait quelque peu. Je l'ai entendu murmurer: "Mon Dieu Seigneur."J'ai remarqué que ses poches étaient tournées à l'envers. - Le gonflement que vous aver remarqué, où était-il situé? - Dans la région mastoïdienne. - Est-ce que la bosse dont vous parlez pouvait venir d'un coup? -Oui. Me Rivard : - Ça pouvait provenir d'autre chose,cette bosse ? -Oui. - Si un homme avait tombe sur une surface, se serait-il produit un gonflement comme celui que vous aver constaté ? - Oui. Me Drouin : - Vous avez perçu l'odeur de l'alcool? - Oui. Et l'odeur de l'alcool avait préséance sur celle du sang. Et, de plus, la respiration était faible. DR HECTOR BEAUDET Me Marquis - Dans la nuit du 20 au 21 juin avez-vous reçu un patient du nom d'Hecter Tremblay ? - Oui. - A quelle heure l'avez-vous vu? - 4 heures. - Quelles sont les constatations que vous avez faites? - Il était inconscient, se plaignait, ses vêtements étalent sales. J'ai constaté que le sang lui coulait de l'oreille droite. J'ai pris sa temperature. Nous l'avons examiné de la tête aux pieds. Il y avait un gonflement en arrière de l'oreille. Nous avons porté comme diagnostic un fracture de la base du crane. YVON PELLETIER Me Marquis: On vous a demandé si vous pouviez donner le nom du matelet dont on vous a déjà parlé au cours du procès ? - Oui je l'ai vu hier soir. - Savez-vous son nom? - Oui. It me l'a écrit sur un papier. Le témoin produit le papier. On peut y lire: "H.M.C.B. Anna Miltred Doucet." Me Rivard : Vous lui avez demandé d'écrire son nom? - Oui. - Et c'est ca qu'il a écrit? - Oui. Il m'a dit qu'il s'appelait Doucet. Le procès se continuera lundi matin à 10 heures et 30.
1 note · View note
clubvideotapes · 1 day ago
Text
Le long des trottoirs, 1956
Hélène Dupré, la fille d'un riche industriel se dévoue pour les pauvres de son quartier au grand dam de son père et malgré les souhaits de son fiancé. Elle vient particulièrement en aide à une jeune fille qui vient de perdre sa grand mère et qu'elle invite à s'installer dans l'hôtel particulier familial. Sa présence ne plait guère aux parents mais séduit Jean-Pierre, le fils de la famille, ce qui provoquera son renvoi brutal, sans qu'Hélène n'en soit informée. Elle fera ensuite une rencontre qui la conduira à la prostitution.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
1 note · View note
latribune · 1 month ago
Link
0 notes